Avis Couplé – Princess Connect
Du réalisateur de KonoSuba, nous retrouvons Princess Connect ou Priconne. Que donne donc le passage des blagues salaces au plus mignon et niais ?
Du réalisateur de KonoSuba, nous retrouvons Princess Connect ou Priconne. Que donne donc le passage des blagues salaces au plus mignon et niais ?
Parmi les nombreuses œuvres destinées à un public masculin adolescent, beaucoup savent mettre leurs attributs en avant afin d’attirer ces jeunes personnes en quête d’identité et de sensations fortes. En faisant cela, beaucoup oublient le reste et se perdent dans un genre dont elles ne font qu’entacher l’image en l’abreuvant d’éléments malplaisants et décourageants.
Narrateur : Ce jour-là, Shinomiya Kaguya et Shirogane Miyuki étaient perplexes. Leur bataille pour faire déclarer à l’autre leur amour battait toujours son plein mais leur saison animée touchait à sa fin. C’est alors qu’un « miracle », si on peut le nommer ainsi, se produisit. Le quatrième mur fut détruit, tel dans un épisode de Gintama. Une discussion ardente entre les deux personnages sur le statu quo de l’anime commença.
A trop attendre d’un anime, on peut facilement être déçu. La tendance avec les réseaux sociaux ou autres lieux de partage n’aurait pu être plus explicite : Yesterday Sing for me fut une expérience légèrement aigre pour de nombreuses personnes.
Après avoir bénéficié d’une communication tout à son avantage grâce à Crunchyroll, l’éclaireur des webtoon nommé Tower of God avait pour délicate mission d’ouvrir la voie aux prochaines productions tirés de webtoon et convaincre le public mais également les producteurs d’investir dans de telles productions animées.
Si l’héroïque-fantasy revient chaque saison avec son lot d’œuvres variées, plus ou moins bonnes, Hiver 2020 possédait une certaine fibre nostalgique à la fois avec le remake de Orphen mais également avec Plunderer qui aurait pu rappeler d’anciennes œuvres sorties dans les années 2000/2010 voire même avant.
Dans le millefeuille d’œuvres fantastiques, la catégorie des Isekai/Tensei ne cesse de monter et prendre du volume. L’écrémage est dès lors incontournable afin de garder les meilleurs éléments. La nouvelle fournée de Printemps n’échappe pas à la règle et met en avant Hamefura une parodie d’Otome Game.
A côté des productions originales qui sont un cas particulier, j’ai toujours estimé que par nature certaines œuvres méritaient plus le coup d’être vu en anime plutôt qu’être lu en manga. Et j’irai même plus loin en disant qu’elles ont indéniablement plus d’attrait et d’intérêt.
Même si le nombre d’œuvres traitant de l’animation ou des mangas, croit doucement et sûrement chaque année, en général on ne rechigne jamais à en regarder de nouvelles. Elles apportent toujours un autre regard dans ce milieu ou réitère des propos et connaissances fondamentales
A chaque saison, les nouvelles productions thématisées « Isekai » sont mal perçues, d’autant plus quand elles arborent une relative banalité dans leur style visuel et/ou leur histoire. Hachi-Nan tte souffre déjà de cet amalgame qui consiste à réunir tous les Isekai dans le même panier familial et à les discréditer dès le début.